lapone ART

08/06/20

GOOD NEWS!!!

"GENTLEMIND"

episode 1

éditions DARGAUD

Scénario :Teresa Valero/Juan Diaz Canales

Sortie le 21/08/2020

Résumé: New-York, 1940.
Navit, une jeune artiste désargentée,
hérite d'un journal de charme quelque peu désuet :"Gentlemind". Combative, intelligente et audacieuse, elle s'improvise patronne de presse et se lance le défi insensé d'en faire un magazine moderne.

Hantée par le souvenir de son amant disparu

sur le front en Europe, elle doit affronter

la réalité d'une société américaine en plein âge d'or

mais résolument machiste..

Un récit profondément touchant,
sur trois décennies, du rêve américain au féminin !

88 pages
Prix.18,00 €

https://www.dargaud.com/bd/Gentlemind/Gentlemind/Gentlemind-tome-1-Gentlemind-Tome-1

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Biographie

Antonio Lapone naît à Turin (Italie) en 1970. Ses études de graphisme le dirigent d’abord vers la publicité.
Mais la découverte de l’œuvre d’Yves Chaland lui ouvre de nouvelles perspectives et réoriente son art vers la bande dessinée. S’ensuivent des albums aux Éditions Paquet (« A.D.A. »), chez Alain Baulet Éditeur (Saturday Night in NYC, Rainy Day) et sous le label « Treize Étrange » (Accords sensibles, Adams Clarks). Artiste pluriel, Antonio Lapone crée en parallèle des images, des sérigraphies, des carnets de croquis et des portfolios. Il crée également des expositions, notamment à la Galerie Champaka Bruxelles (« Sentiers nocturnes » en 2012, « The New Frontier » en 2015). Pour « Greenwich Village », chez Kennes Éditions, il s’associe au scénariste Gihef, fasciné comme lui par la culture populaire américaine des années 50 et 60.
L’esthétique de l’un associée à la truculence de l’autre en font une série résolument grand public.

Lapone parle d’Antonio:

« Mes racines graphiques plongent dans le monde de la création publicitaire, les portfolios d’affichistes ou les croquis de mode. Nombre de pages de magazines des années ‘50 et ‘60, un univers fait d’élégance et de compositions graphiques, sont une source intarissable d’inspiration. »

« Je me sens sans doute plus « graphiste » que « bande dessinée ». Quand je travaille sur une planche, je recherche d’abord la composition graphique. Il y a toujours un lien graphique entre mes planches et mes tableaux. »

« Lorsque je fais référence à l’Expo’58, il s’agit peu de nostalgie. Cette exposition universelle a été un moment magique pour la modernité, le design et le graphisme.
Je n’ai pas de nostalgie pour la vie de l’époque, mais j’aurais voulu partager ce rêve de modernité. »

« J’ai étudié les compositions graphiques de Marcello Dudovich, un des pères de l’affiche publicitaire italienne moderne. Achille Luciano Mauzan et Leonetto Cappiello,
avec leurs jeux de contrastes entre le noir et le rouge, ont nourri mes compositions et ma palette de couleurs. Parmi mes autres “maitres »: Leyendeckers, Savignac et Jack Cole. Dans le domaine de la bande dessinée, mon carré magique est composé d’Yves Chaland, Serge Clerc, Ever Meulen et Joost Swarte. »

The Amazing of Antonio Lapone

08/06/20

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